Si l’année 2020 a commencé avec de nouvelles ambitions, La réalité a été tout autre. L’émergence du COVID-19 et sa transformation rapide en épidémie mondiale ont paralysé la plupart des secteurs de l’économie mondiale et ont semé la confusion chez les experts, la communauté boursière et les décideurs politiques.
Les conséquences de la crise sanitaire actuelle sur le tissu économique sont bien plus importantes qu’en 2008. Il ne fait aucun doute que la crise provoquée par la pandémie mondiale du coronavirus a créé un climat commercial incroyablement difficile. Les entreprises sont confrontées à de nombreux nouveaux défis, avec la fermeture des frontières internationales, la fermeture des établissements physiques, et l’isolement des gens chez eux. De nombreuses entreprises sont confrontées à des fermetures temporaires, voire permanentes.
En Tunisie, les mesures préventives prises à un stade très précoce ont permis de limiter la propagation du virus en 2020. Du coup, le faible impact épidémiologique de la crise, la rapidité de réaction du gouvernement, de la BCT et des autorités de marché ont permis de limiter les dommages.
Mais ça n’empêche que tous les secteurs à l’exception de l’agriculture et de la pêche ainsi que des services non marchands ont enregistré des taux de croissance négatifs de la valeur ajoutée.
L’année 2021 représente un plus grand défi pour les entreprises afin de surmonter cette crise et de compenser les pertes. En effet, la Tunisie connait en ce début 2021 une croissance importante des cas de coronavirus, en plus des difficultés économiques de tout le pays.
En espérant que cette crise prendra fin grâce aux vaccins et que la vie normale reprendra son cours par reconstruire une nouvelle économie.
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